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Des travaux de restauration, pendant 5 ans, ont fonctionné sur ce monument près de Toulouse

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Déconstruction d'une annexe et de l'ancien transformateur électrique afin de dégager l'architecture d'origine de l'édifice.
Déconstruction d’une annexe et de l’ancien transformateur électrique afin de dégager l’architecture d’origine de l’édifice. (©Ville de L’Isle-Jourdain)

Le monument reste ouvert pendant la durée des travaux. Depuis le mois de mai, des travaux de restauration des façades et des toitures de la Collégiale Saint Martin sont entreprises à L’Isle-Jourdain (Gers), près de Toulouse.

Ces travaux, d’une durée de 5 ans, se déroulent en plusieurs phases. La première phase concerne le versant sud (charpentes, toitures, façades et verrières). Pendant les travaux, « la circulation autour de l’édifice est perturbée et le stationnement modifié », communiqué la Ville.

Plan de circulation et de stationnement.
Plan de circulation et de stationnement. (©Ville de L’Isle-Jourdain)

L’église collégiale Saint-Martin est la quatrième élevée en ce lieu. La première était un prieuré attesté en 1177.

Érigée en collégiale en 1318 par le Pape Jean XXII, elle fut détruite en 1580 par les Huguenots venus avec Henri IV occuper militairement la ville. Il ne reste de cette église que la tour clocher de la collégiale actuelle. Reconstruite, sans doute sur les ruines de la précédente, l’église sera rasée en 1585 par les hommes de Georges du Bourg, seigneur de Clermont et gouverneur de la ville.

Après l’Édit de Nantes, le chapitre fait construire une collégiale provisoire dont le plan cadastral de 1749 donne une idée. Interdite au culte en 1779, car jugée trop délabrée, elle sera rétablie par l’actuelle collégiale. Celle-ci sera construite entre 1779 et 1785 sur les plans de l’architecte toulousain Arnaud Raymond.

Un peu d’histoire

Le chapitre bénéficiera d’aides de l’Archevêque de Toulouse (Monseigneur Loménie de Brienne) et du roi Louis XIV lui-même mais s’endettera lourdement pour assurer le financement de la construction qui fut terminée en 1785 ; survint alors la Révolution et ce n’est qu’à partir de 1820 que la collégiale commença à recevoir ses ornements et son mobilier.

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