La raison principale pour expliquer pourquoi les juifs ne mangent pas de porc semblent se trouver dans la Torah. Il y a des preuves que dans l’Antiquité, le cochon était consommé en Mésopotamie. L’archéologie a trouvé des traces d’élevage de porcs dans certaines régions. Mais cette pratique a disparu, et elle a été interdite par différentes religions, dont le judaïsme. Pour comprendre pourquoi les juifs ne mangent pas de porc, il y a donc deux aspects à analyser : le religieux et l’historique. L’interdiction prétendument divine de la consommation de porc chez les juifs aurait tout simplement sanctionné, sans susciter de critiques, une tendance agricole qui n’était plus productive et efficace.
Les Saintes Écritures sont souvent la raison avancée pour expliquer pourquoi les juifs ne mangent pas de porc. Le Lévitique fait partie des livres de l’Ancien Testament, le livre sacré des juifs, qui interdit la consommation de viande de porc dans le judaïsme. En effet, il autorise les juifs à manger uniquement des animaux qui ruminent. Le porc n’est pas un ruminant, il est donc exclu de la liste des produits alimentaires kasher. Dans le Deutéronome, on trouve un verset qui indique que les juifs doivent considérer le porc comme un animal impur. Pour certains anthropologues, l’argument religieux selon lequel les juifs ne mangent pas de porc est apparu après une série de changements sociaux et environnementaux qui ont arrêté de rendre rentable l’élevage de ces animaux.
S’il existe des preuves (…)
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À l’approche du 1er janvier qui marque le Nouvel An du calendrier grégorien, RFI part à la rencontre de communautés, à travers le monde, qui défend une manière singulière de célébrer le passage à la nouvelle année, parfois à des dates bien différentes. C’est le cas des Parsis, de religion zoroastrienne et installée en Inde depuis le VIIIe siècle, qui le fêtent lors de l’équinoxe du printemps. Une tradition reconnue par l’UNESCO comme un patrimoine mondial de l’humanité.
De notre correspondant en Inde,
Quand Mahtab Irani était enfant, c’est sa grand-mère qui préparait les belles tablées de la fête du Nouvel An, dans leur appartement du centre de Bombay. Son aïeule de religion zoroastrienne (1) était née en Iran et a émigré en Inde dans les années 1940, pour y rejoindre la famille déjà installée. Et elle a donc rapporté sa manière de célébrer cette fête. « Ma grand-mère plaçait sur la table un grand nombre d’aliments de la cuisine, de manière simple mais généreuse, afin de partager avec tout le voisinagese souvient sa petite-fille. C’était un très beau moment ». Au fil des années, Mahtab, âgée aujourd’hui de 32 ans, a repris avec ferveur cette tradition, et agrémente sa table de bien plus d’aliments achetés au marché, avec l’aide de sa sœur, qui adore peindre les œufs à poser sur la table. « Certaines années, nous préparons la table la veille, jusqu’à 3h du matin ! Notre grand-mère nous disait que nous en faisions trop ! », s’amuse-t-elle.
La table de Navroz reconnue par l’UNESCO
Le Nouvel An pour les Paris, appelé Navroz (« nouveau jour » en persan, écrit également Norouz ou Nowruz) (2) est célébré de l’Iran à l’Inde en passant par différents pays de l’Asie centrale, le jour du printemps, le 21 mars. Cette communauté dresse des tables garnies de nombreux aliments de cette saison, afin de symboliser la fertilité, la richesse et le renouveau : des œufs peints sont ainsi posés sur du riz, à côté de brins de blé, de pommes, de grenades garnies de pièces. de monnaie, de lait, de vin et de sucreries, le tout entouré de fleurs de saison. Comme dans la tradition chinoise, les Parsis choisissent un animal pour symboliser la nouvelle année – au printemps 2023, les Parsis sont ainsi entrés dans l’année du Lapin. Enfin, un miroir est présenté à toutes les personnes qui viennent à ce « buffet », qui doivent s’y regarder. Cela est fait pour « sourire à la nouvelle année », explique Shernaz Cama, la directrice de Parzor, une fondation regroupant cette communauté zoroastrienne installée en Inde depuis le VIIIe siècle, à la suite de la persécution musulmane en Iran. Parzor a contribué, avec d’autres organisations des pays environnants, à obtenir l’inscription de Navroz sur la liste du patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO, en 2009, et le 21 mars est ainsi devenu la journée internationale de Navroz.
« Cette tradition date d’il ya 3 000 ans et elle était suivie à Persepolis, en Perserappelle Shernaz Cama. Elle met l’accent sur le partage des aliments lors de la tablée et renforce également notre connexion avec notre environnement en y apportant les aliments de la nature. ». Les pratiques de Navorze « commémorer la diversité culturelle et la tolérance et contribuer à renforcer la solidarité et la paix au sein de la communauté », détaille l’Unesco pour justifier la protection de cette fête.
Une ouverture sur les autres communautés
« Navroz est un festival de partage », confirme Mahtab, qui se souvient que sa grand-mère invitait par exemple ses voisins musulmans de Bombay pour goûter les aliments de la tablée. Signe de la joie et de l’abondance retrouvée au printemps, après l’hiver.
Vanshika Singh a goûté à cette ouverture œcuméniste : cette hindoue de 32 ans a travaillé avec l’association Parzor pendant plusieurs années pour actualiser le dossier de reconnaissance de l’Unesco. « C’est l’un des rituels les plus faciles d’accès que j’ai eu à étudierreconnaît Vanshika. C’est un moment très personnel pour les familles, et malgré tout accessible, car l’objectif est justement de rassembler de manière très large. »
Cela contraste avec d’autres rituels, plus religieux, de la communauté zoroastrienne : le temple du feu, par exemple, qui est le centre des rites, est interdit aux personnes extérieures à cette religion.
Cette différence peut s’expliquer par l’aspect quasiment laïc de la célébration d’un événement aussi naturel que le printemps. « Je viens d’une communauté paysanneconfie Vanshika, et nous avons des traditions similaires à cette saison, à travers le festival de Vaisakhi, qui marque la fin des récoltes. » Vaisakhi se tient généralement à la mi-avril dans le nord de l’Inde, et marque aussi le passage dans la nouvelle année solaire.
L’UNESCO ne mentionne d’ailleurs pas d’aspect religieux dans son texte de reconnaissance de Navroz, mais seulement la tradition des communautés des douze pays de la région suivie le jour du printemps, et l’importance des zoroastriens parsis d’Inde à la perpétuer.
Le déclin de la communauté
La difficulté est toutefois de continuer à faire vivre cette tradition. Car le nombre de ces zoroastriens parsis est déjà très faible : sur 57 264 membres de cette communauté lors du dernier recensement indien de 2011, avec une baisse de 10% tous les dix ans. Donc, il y aurait à peine 50 000 Parsis en Inde aujourd’hui, le pays qui compte pourtant le plus d’adeptes de cette religion millénaire. Entre 15 000 et 25 000 autres zoroastriens se trouveraient en Iran, pour environ 150 000 personnes dans le monde entier.
Mahtab Irani veut cependant lutter contre l’oubli de Navroz : chaque mois de mars, elle fait grandir une plante de blé dans sa maison de Barcelone, où elle habite aujourd’hui, afin de le poser sur sa table du Nouvel An. « Pour moi, le fait que ce plant continue à pousser tous les ans est le signe que cette tradition est toujours vivanteaffirme ce trentenaire. Et je vais tout faire pour la transmettre à mon fils, qui a moins de deux ans aujourd’hui. »
(1) Le zoroastrisme est la première religion monothéiste du monde, née il ya plus de 3 000 ans, dont les fidèles honorent le feu comme symbole du divin. Elle a été la religion de l’Empire perse à plusieurs reprises jusqu’en l’an 651. Avec l’arrivée de l’islam, les zoroastriens qui n’ont pas voulu se convertir ont fui vers l’Inde.
(2) Novruz, Nowruz, Navruz, Nooruz, Nevruz, Nauryz, Navroz, Norouz – signifie « le nouveau jour ». Son orthographe et sa prononciation varient selon les pays.
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Pour cette année 2023, pour les seuls mois de juillet et août, ce ne sont pas moins de 1 745 personnes qui se sont rendues à l’intérieur des édifices religieux.
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Depuis son retour sur la scène de la salle Raymond Dufour, la revue locale connaît un beau succès auprès du public du pays desvrois. A ce jour, plusieurs centaines de spectateurs sont venus applaudir la prestation de latrentaine de comédiens qui composent les divers tableaux.
Pour mettre un terme en beauté à l’édition 2023, les acteurs de ce spectacle, intitulé « On est jamais trop prudent », ont décidé de se produire, une fois encore pour le grand public. Ce nouveau rendez-vous joué sera intégralement au profit de la restauration de l’église paroissiale Saint-Sauveur. Par ce geste la troupe Les Lustucrus entend apporter une pierre aux travaux nécessaires à l’édifice. Rappelons que pour l’association organisatrice c’est la sixième fois qu’elle présente et joue un spectacle 100 % local ou tous les sujets qui font l’actualité du desvrois depuis une année sont passés en revue sans ménagement, toujours avec une petite pointe d’humour, mais jamais avec sérieux.
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Dimanche 10 décembre à 16 h à la salle Raymond-Dufour de Desvres. Participation : 10 €. Les réservations sont prises au 03 21 87 64 37. Accès possible également le jour de la représentation dans la limite des places disponibles.
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L’archéologie, ce n’est pas seulement se rendre dans des endroits inhospitaliers pour y déterrer soigneusement des artefacts. Bien sûr, il est toujours nécessaire d’effectuer des …
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Dans le cadre du programme de réhabilitation des édifices religieux de l’église Saint-Génis et de la chapelle de la Vierge, les travaux se poursuivent, avec la réalisation des drains sur les murs extérieurs de l’église et les toitures. Une deuxième tranche de travaux sera engagée pour la chapelle au printemps 2024. Le coût est de 295 000 € HT. Ce programme bénéficie de l’aide de la Drac (Direction régionale des affaires culturelles), de la Région, du conseil départemental, de la Sauvegarde de l’art français et de la Fondation du patrimoine. Une somme de 15 624 € provenant des jambes de Marie-Thérèse Farre a également été affectée à ces travaux. Afin de soutenir collectivement cette action du patrimoine errois, une souscription en partenariat avec la Fondation du patrimoine est ouverte (chaque ne générera une réduction d’impôt de 66 %). D’ores et déjà, 6 132 € ont été réalisés.
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